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12 janvier 2007

Une profession incontrôlable

A notre époque, n’importe qui peut s’octroyer le titre de « voyant » et ouvrir un cabinet. Ils peut le gérer comme un commerce et attirer « la clientèle » par une publicité tapageuse… qui ne prouve rien, sinon qu’il en a les moyens, et ne contient que les affirmations de l’intéressé. Souvent ces voyants apparaissent en un lieu, puis disparaissent avant de réapparaître ailleurs, et ainsi de suite.

Il n’est pas possible de « tester » un voyant sur la qualité de son travail qui par nature s’exerce dans la   discrétion. Des émissions de télé tout aussi tapageuses ont prétendu le faire en confondant la voyance et les devinettes. C’est dévaluer « la voyance » qui n’est pas un jeu mais doit demeurer un moyen d’aider en de multiples circonstances.

Par contre, il existe dans la plupart des communes de France des voyants qui exercent leur activité et en vivent depuis des dizaines d’années sans autre soutien qu’une information publicitaire modeste et surtout ce qu’il est convenu d’appeler « le bouche à oreille » des gens satisfaits. Celui ou celle qui a mérité la confiance dans une région n’a pas à changer de lieu pour survivre.

La qualité de la voyance ne peut être prouvée que lors des contacts avec les consultants. C’est un peu comme lorsqu’on va consulter un médecin ; ce n’est qu’après qu’on pourra apprécier son efficacité… Il doit s’ajouter des qualités éthiques qui concernent à mon sens « le rôle social du voyant ». Ce sera le sujet de mes prochains messages.

13:10 Publié dans Blog | Lien permanent | Commentaires (0)

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