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10 août 2010

« Voir » est une évidence et c’est accessible à tous…

Interpréter les voyances est un autre domaine.

Il est nécessaire de posséder des qualités et des connaissances que seul le travail permet d’acquérir.

 

C’est le but – toujours atteint du stage que nous proposons.

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04 août 2010

« Voir différemment » et « voir les yeux fermés » sont la base de ce travail

Puis c’est l’étude de projections d’images, avant de créer des images par des gribouillis et des taches de couleurs. Les couleurs et les lumières sont utilisées dans des exercices complétés par des travaux de maîtrise des énergies. Enfin c’est le verre d’au qui nous offre des images parfois concrètes, mais le plus souvent symboliques à interpréter. Il n’y a qu’un pas du verre d’eau à la boule de cristal.

28 juillet 2010

L’attirante beauté de la boule de cristal

Du miroir, nous passons à ce bel objet qui absorbe la lumière et en restitue une partie avec les reflets changeants du visible et de l’invisible. Dans une vitrine, ou posée sur un meuble, la boule de cristal est fascinante et personne ne résiste a désir de l’interroger… Certains s’y risquent, tandis que d’autres se résignent en pensant qu’il faut pour cela posséder « un don ».

 

Non, voir dans la boule n’est pas du à la faveur de posséder un don. Chacun peut y parvenir.

 

Il faut cependant un véritable « entraînement » et des qualités psychiques qui n’ont rien d’exceptionnel. Par expériences maintes fois renouvelées depuis plus de vingt ans, je puis affirmer que « La Voyance, ça s’apprend ». il ne s’agit pas de théories aléatoires, mais d’une pédagogie que j’ai mise au point avec Charly Samson. Nous animons ensemble de nombreux stages et nous n’avons jamais rencontré une seule personne qui au terme d’un week-end ne soit pas en mesure de « voir dans la boule de cristal ».

19 juillet 2010

Des eaux calmes aux miroirs magiques

Il semble qu’à l’origine, les voyances dans les eaux calmes étaient fréquentes.

Plus près de la nature, l’homme des temps anciens savait l’interroger.

Dans son livre « Manuel d’utilisation de la boule de cristal » (éditions Trajectoire), Charly Samson raconte l’interview qu’il a réalisé d’un proche collaborateur du Dalaï-Lama, le Vénérable Lama Sherab Gyaltsen Amipa. Ce personnage lui a affirmé que lors du décès d’un Dalaï-Lama, les lamas de haut rang se réunissent au bord d’un lac sacré dans lequel, par les reflets dans les eaux calmes, ils savent où est né le nouveau Dalaï-Lama, comment ils pourront se rendre auprès de lui et à quels signes ils le reconnaîtront.

 

Par la suite, de simples bassins ont permis la voyance dans l’eau qui emprisonne une partie de la lumière et en restitue une autre partie. C’est dans ces reflets et dans ces vibrations que l’homme « voyait » son image dans le présent, dans le passé et dans le futur. Parfois l’eau devient prisonnière du froid. Alors, elle se transforme en glace, comparable au cristal de roche. Par sa transparence et sa limpidité, « la glace » désigne aussi une plaque de verre dont on fait des vitrages ou des miroirs.

Dès lors, les surfaces brillantes et polies ont été utilisées pour passer de la réalité de reflets révélés, à une autre réalité à découvrir. Ce fut l’origine des « miroirs magiques » dont au moyen âge on a fait un symbole de la sorcellerie. Ces miroirs peuvent être blancs ou teintés, ou même noirs, tel un bloc d’anthracite creusé. Depuis le XIVe siècle et jusqu’à notre époque, de nombreux textes en attestent l’utilisation. Mais le miroir est un instrument de prédiction particulièrement dangereux. L’interroger imprudemment peut déclencher un choc brutal entraînant de lourdes conséquences.

 

Avec la boule, c’est tout à fait différent.