Le blog de Kamina BROCHKA

Encore un mot qui est souvent détourné de son sens profond. On pourrait dire d’un prophète qu’il est un voyant de haut niveau, puisant ses messages dans la haute spiritualité : Dieu, les saints, les anges…Nous trouvons des « prophéties » dans tous les grands textes sacrés de l’humanité et nous constatons qu’il ne s’agit pas que de prédictions. La plupart de ces textes dispensent des conseils pour bien se conduire dans la société, dans sa famille, dans son pays, etc. Et ces conseils sont souvent exprimés sous forme d’avertissements : « Si vous ne faites pas ceci, il vous arrivera cela ».
Il semble que le futur prédit ne soit pas inéluctable et que les catastrophes annoncées puissent être évitées si l’on a compris l’avertissement… à moins que soit atteint un point de non-retour, comme ce fut le cas pour la destruction de Sodome et Gomorrhe.

Mais cette année vibre également pour chacun de nous sous le signe d’un nombre qui nous est personnel. Ce nombre indique quelles sont les tendances qui vont concerner un individu tout au long de cette année, du mois de janvier au mois de décembre.
Pour déterminer quel est votre nombre personnel, vous devez utiliser trois éléments : le nombre du jour de naissance – le nombre du mois de naissance – le nombre 8 pour cette année 2006. Vous additionnez ces trois éléments en réduisant le total au plus petit nombre  (à l’exception de 11 et 22).
Sur le numéro hors série du mois de décembre 2005 du magazine « super guide ASTRAL », j’ai publié pour chaque nombre les prévisions concernant votre année 2006.

Chaque nouvelle année apparaît avec son cortège d’interrogations. Souvent on demande aux arts divinatoires de soulever un coin du voile qui masque ce futur très proche. Faut-il ne pas s’impliquer dans la construction de l’avenir et considérer que nous n’avons en ce domaine aucun rôle à jouer ?
Des événements que la voyance peut repérer constituent un futur déterminé et inévitable. Mais la rencontre de ces événements peut être vécue de façons bien différentes selon que l’intéressé s’y est plus ou moins préparé.
C’est là le rôle social du voyant : ne pas se contenter d’annoncer un événement, mais aider l’autre à mieux le vivre en sachant atténuer les risques ou mieux profiter des aspects bénéfiques. Cette préparation à vivre mieux ce qui va intervenir constitue la part de libre arbitre que chacun possède et qui l’aide s’il ne se résigne pas.
Je souhaite que les internautes qui s’interrogent sur ce que sera pour eux cette année 2006 se préparent à vivre les événements quels qu’ils soient avec la conviction qu’ils sont capables de les affronter sans les subir totalement. Je formule aussi le vœu qu’ils bénéficient des meilleures conditions pour profiter au maximum de leur santé et de la réalisation de leurs désirs.

Parmi les mots qui caractérisent les arts divinatoires, la médiumnité est celui qui affiche le plus d’ambiguïté. En musique le médium se situe entre le grave et l’aigu ; au milieu. Dans les arts divinatoires, le « médium » est placé entre le message qu’il reçoit et la personne à qui il le transmet. On connaît le destinataire, mais on n’identifie pas clairement la source : au-delà, personnes trépassées, mondes parallèles, messages du passé ou du futur ou informations jaillissant de notre inconscient ?  On privilégie souvent les contacts avec les morts ce qui fait confondre médium et spirite…
La médiumnité se manifeste de différentes façons. Voyance, clairvoyance, claire audience, et surtout par un ressenti indéfinissable.
Tout « voyant » est donc un médium et il est inutile qu’il le précise ; à moins qu’il y ait confusion avec le mot « spirite ».